vendredi 11 juin 2021

A huit heures moins une, je fais le fou !

M art' IN
De la panique pandémique au délire électoral il n’y a qu’un pas. Nous y voilà.
La campagne pour la prochaine présidentielle est lancée, avec les « gentils » – ceux qui bientôt seront sur le banc des accusés pour un Nuremberg 2 ? – et, bien entendu, tous les « vilains », islamophiles, islamophobes, antisémites et fachos, se livrant une guerre sans merci devant une opinion fracassée par le cruel dilemme : la peste ou le choléra ?
Le vote blanc n’étant toujours pas validé par la constitution on peut s’attendre à une abstention historique, si tant est... Quelle sera donc la légitimité « démocratique » de l’heureux gagnant ?
Banques, multinationales et Big Pharma, génératrices de pouvoir profond et vrais ordonnateurs du Nouvel Ordre Mondial, désignant celui que nous pensons être notre choix.
La multiplication de candidats mettant en relief que nous n’avons pas besoin d’appareils sophistiqués pour fausser une élection, comme cela a été le cas aux Etats-Unis, le trucage étant l’élection elle-même.
Des patrouilles de mercenaires écument l’espace médiatique avec frénésie afin de distraire un auditoire indifférent, à force de péroraisons pandémiques sur un virus sans presque pas de morts, hormis ceux que l’on vaccine de force.
Bientôt un an et demi que ça dure, cette tartuferie où le con devient son propre otage et le mort un patient qu’on fait patienter.
Et dans ce jeu de dupes qui de mieux pour fournir la batte en relançant la machine ? J’ai nommé Jean-Luc Mélenchon !
En déclarant qu’un « grave incident », semblable à celui de Mohammed Merah en 2012 pourrait faire basculer le scrutin présidentiel « lors de la dernière semaine de campagne de la présidentielle de 2022 », Méluche à mis le feu aux poudres !
Aussitôt dit, la cohorte de mercenaires est venue à la fenêtre médiatique cracher de l’injure, caillasser à tout va celui qui dit tout haut ce que n’importe quel homme normal pense tout va, y compris parmi ceux qui crachent et caillassent ! N’importe quel livre d’histoire peut nous éclairer au sujet des complots fomentés par le pouvoir pour retourner l’opinion.
Un de ces vitupérateurs, philosophe à la petite semaine, va jusqu’à dire que dans un tel contexte et à son corps défendant  - il se murmure qu'il est de gauche - à « huit heures moins une il irait voter Le Pen plutôt que de laisser la porte ouverte à Hugo Chávez » ! Quel homme !
Hélas, en guise de « grave incident » le président a reçu une gifle de la part d’un quidam lors d’un « bain de foule » à l’occasion d’une visite officielle.
Maigre consolation pour un pays qu’on enfonce, mais suffisant pour faire grimper le baromètre des intentions de vote.
Ce n’est pas de candidats que la France a besoin, mais d’un homme d’Etat pour qu’elle retrouve enfin son honneur !

Sous l’Casque d’Erby



dimanche 23 mai 2021

La réalité est un polar, la vérité un cauchemar

M art' IN
Voici quelques citations sur la façon dont fonctionnent les « grands hommes » qui dirigent la planète. Elles sont extraites d’un ouvrage édité par Investig’Action sous la direction de son auteur Michel Collon : « USA, les 100 pires citations » (1).
Si certaines personnalités citées dans l’ouvrage ont aujourd’hui disparu leur malveillance perdure dans l’esprit de celles qui les ont succédées. Le mal ne connaît pas le repos.
Dans un prolongement logique, depuis l’apparition du fameux et très opportun virus du Covid-19 à l’hiver 2019, les personnes ayant cherché soit à suggérer un remède, à contester ou dénoncer l’imposture, ou à exprimer tout autre forme de doute, ont soudain trouvé une mort aussi étrange que suspecte, sans que cela n'alerte massivement une population sous sédatif médiatique. Des personnes ayant travaillé dans l'environnement proche du milieu où le virus s'est déclaré ou ayant à prendre des décisions politiques liées à la chose. Pas n'importe quel néophyte donc...
Ces personnes sont mortes par défénestration, par crise cardiaque ou par simple exécution d’une balle dans la tête. Certains auteurs de ces crimes ayant à leur tour été exécutés par d'autres tueurs, effaçant par le fait toute trace d'accointance avec quiconque, personne civile ou morale !
Un véritable bataillon de la mort et de tueurs à gage œuvrant sur la planète, pour le compte... de qui ?...
Des morts ayant été qualifiées par les services de police comme des suicides liés à un état dépressif ou à des accidents de santé, ou, encore, plus étrange, au « meurtre-suicide par strangulation », comme cela fut le cas avec le couple Barry Sherman, propriétaires du grand laboratoire canadien Apotex, un des principaux fabricants d’hydrochloroquine ! Selon l'enquête réalisée par monsieur Philippe Aimar, auteur de « Covid-19 – Enquête sur un virus » (2).
La réalité est un polar, la vérité un cauchemar !
On ne s’égare pas. Comment le pourrai-je, puisque tout est si machiavéliquement imbriqué !
Quelques citations donc du livre de Michel Collon cité en haut :
De l’Amiral Kurt Tidd, à propos du Venezuela : « Organisons pillages, troubles, insécurité… Le moment d’agir est arrivé (…) intensifier l’insatisfaction populaire, en favorisant plus d’instabilité et de pénurie jusqu’à des niveaux critiques, en intensifiant la dé-capitalisation, la fuite des capitaux étrangers et la dégringolade de la monnaie nationale (…) contribuer à rendre plus critique la situation pour la population (…) appel à des alliés internes afin qu’ils génèrent des manifestations, des troubles et de l’insécurité… » Un humaniste, l’Amiral !
De Michael Short, commandant des Forces alliées US Europe du sud (1944-2017) : « Si vous vous réveillez le matin et que vous n’avez pas d’électricité, ni gaz pour le poêle, et si le pont que vous prenez pour aller travailler est démoli et gît dans le Danube pour les 20 ans à venir, je pense que vous pouvez commencer à demander : « Hé Slobo (Slobodan Milosevic, président de la Yougoslavie), qu’est-ce qui se passe ? On va devoir supporter ça jusqu’à quand ? » Un grand poète, ce Short !
De Thomas Friedman, journaliste US, éditorialiste au New York Times et grand partisan de la guerre contre la Yougoslavie en 1999 : « Pour que la globalisation marche, l’Amérique ne doit pas craindre d’agir comme la superpuissance omnipotente qu’elle est. La main invisible du marché ne fonctionnera jamais sans un point caché. McDonald’s ne peut être prospère sans McDonnell Douglas, le constructeur de l’avion F-15. » Les journalistes, ces grands collabos !
Les 97 citations restantes sont de la même eau ! Et ils appellent ça le « Monde Libre » !

Sous l’Casque d’Erby



jeudi 20 mai 2021

Marée haute, marée basse

Du début à la fin 
Le meilleur et le pire 
Se tiennent par la main
Au cœur des contes de fées, 
Le cauchemar
La tête enfouie dans le sable
Bonheur improbable

Rupture de ton 
Rupture de temps
Soufflent les vents


En quête d'un refuge 
Imposture
Crique où loger
Le rafiot des illusions
Fracassé sur la roche en fusion
Pages gribouillées
L’oracle chante 
Des chimères échevelées

Marée haute, marée basse 
L’onde s'esclaffe
File des baffes

Les vagues se succèdent 
Sans que sous l’algue
L'humus n’apporte 
Le miracle
Caressant l'idée d’un alizé austral
Poussières d'étoiles
Effaçant l’horreur des âmes sales

Rupture de ton 
Rupture de temps,
Soufflent les vents

Sous l’Casque d’Erby



lundi 17 mai 2021

Palestine : extermination programmée ?

Une nouvelle fois, la Palestine, pays hôte du jadis SDF Israël, se fait canarder par les invités et les civils tombent, tombent, tombent. Comme souvent, femmes, enfants et vieillards sont les principales victimes.
Assistons-nous à une nouvelle « solution finale » imaginée par des cerveaux criminels ? A force, même les esprits les plus modérés finissent par le penser. Y compris au sein de la propre communauté juive !
En 1947, les forces alliées, anglais en tête, trouvent une terre d’accueil à la diaspora juive, après la rouste nazie de la seconde guerre mondiale. La Palestine est choisie et sa terre arbitrairement « partagée ». Tel le coucou, les israéliens pondent leurs œufs dans le nid des autres. 
Israël est né et très vite les palestiniens commencent à avoir la chtouille, non sans raison, puisque en une petite vingtaine d’années seulement le peuple invité a jeté ses tentacules sur 75 % du territoire palestinien. Colonisation express ! En avant, marche ! Le tout agrémenté d’exactions ad hoc avec la bénédiction d’un occident subjugué par une telle hardiesse !
Et si quelqu’un proteste, crie à l’expropriation, au vol et au crime, on l’écarte avec des arguments dignes de l’autofiction. Dieu en personne n’avait-il pas désigné Israël comme le « peuple élu », un soir où il avait visiblement abusé de la bouteille ? Si tant est que Dieu existe et qu’un quidam ait été témoin du propos ! Ne dit-on pas que l’abus d’absinthe rend fou ? Personne cependant pour authentifier la chose, puisqu’à l’époque Dieu, s’escrimant à rompre sa solitude, occupait son temps à créer tout et n’importe quoi !
Mais qui est le menteur dans cette histoire sans témoin ? Qui est le fou criminel ?...
L’agression systématique des palestiniens n’est pas la conséquence d’une énième réponse à l'attaque d’un peuple moribond, mais un projet préexistant pour imposer une loi et un discours manipulateurs afin de finir le travail, La censure et la contre-information des médias dominants servant de relais pour faire passer un crime pour un geste défensif.
A Berlin, Londres, Madrid, en Irlande…, dans toutes les capitales du monde, la mobilisation pour condamner cet acte criminel a été exemplaire.
A Paris, les manifestations de soutien ont été interdites par le gouvernement sous prétexte – on ne rit pas – d’empêcher la propagation de la « haine et l’antisémitisme » !
Aujourd’hui en France, c’est très tendance, celui ou ceux qui trouvent à y redire sont de fait disqualifiés avec des accusations calomnieuses comme « antisémite », « facho », « identitaire », « brun », et j’en passe. Or quand des millions de personnes, toutes opinions confondues, assistent à un crime et se mobilisent sans violence pour le dénoncer doit-on en déduire que l’humanité a sombré dans l’horreur ? 
Un crime reste un crime et les droits de l’homme ne sont pas faits uniquement, comme l’affirmait froidement Henry Kissinger, salaud parmi les salauds, pour « contrer les communistes ».

Sous l’Casque d’Erby



lundi 3 mai 2021

Fascisme sauce pandémique

Erby
Qu’est-ce qu’on s’amuse en ce début de 21ème siècle !
Il a suffit que quelques militaires, retraités ou pas, inquiets du vent mauvais qui secoue la France, viennent tirer la sonnette d’alarme auprès des fossoyeurs de la république, pour que des malins et la cohorte habituelle de mongoloïdes crient au « coup d’état », au « fascisme », à l’éclosion d’un « totalitarisme sanguinaire », attachés qu’ils restent à l’ancien logiciel, représentant le militaire la poitrine bardée de médailles devant sa garde prétorienne, prête à exécuter à la chaîne des citoyens par milliers après une prise de pouvoir sanglante.
Ces esprits perturbés oublient qu’un coup d’état ne s’annonce pas sur BFMTV ou un autre média à l’heure de l’apéro, il s’exécute. Subsidiairement, ces abîmés de la comprenette n’ont pas intégré que l’habit ne faisant pas le moine, le fascisme n’a plus besoin de l’équipement des ancêtres pour réussir à se saisir du pouvoir et à conduire le surplus du troupeau à l’abattoir.
Pour cela, nos dirigeants ont développé la torture sous une forme plus raffinée, cette fois via une peur de masse propagée par des pangolins déchaînés et dont la guérison ne peut passer que par un vaccin obligatoire, contenant on ne sait quelle saloperie, et l’instauration d’un nouvel ordre mondial « protecteur » que certains allumés confondent avec la jadis utopique « solidarité internationale » !
Notre opposition nationale n’a pas été dernière à danser sur l’air des « militaires séditieux », préoccupée qu’elle est par les futures élections, plus que par la bonne santé mentale et le bonheur des français, celui-ci passant d’abord par le leur. Tellement dévorée par l’ambition que rien de ce qui pourrait lui faire perdre une voix, comme la dénonciation du port du masque, le couvre-feu, le confinement, le passeport vaccinal, la destruction de l’économie et la misère subséquente ne les branche pas autant que ces militaires retraités atterrés par tout cela et par la disparition propre et nette du pays dont ils ont leur vie durant défendu les valeurs.
Entre ceux qui savent et ceux qui s’en doutent, nous sommes assez nombreux à penser que sous couvert de démocratie et du « droit de vote » gauche et droite servent d’abord les intérêts des banquiers dans un système « d’auto-alternance » aux rouages bien huilés, le parti de Marine Le Pen jouant à fond son rôle d’épouvantail. Tellement efficace !
Depuis plus de cinquante ans la classe politique brandit la menace de l’extrême droite pour se maintenir à flot. Or en cinquante ans l’extrême droite n’a jamais gouverné le pays et pourtant c’est sous un régime préfasciste que nous vivons ! Étonnant, non ?

Sous l'Casque d'Erby

samedi 20 mars 2021

Vive la Commune, mais pas que !

Source
Il y a 150 ans, la Commune de Paris allait écrire une page sanglante de l’histoire de notre pays, en même temps qu’elle soulevait une vague d’espoir jamais concrétisée par la suite, sauf, dans l'esprit, l’intermède espagnol de 1936 à 1939 pendant la guerre civile. Du sang et de la terreur au menu.
Depuis des générations, tous les ans, à date ponctuelle, on célèbre sa mémoire à grands coups de sniff-sniff, répandant mouchoirs en papier sur les trottoirs, après avoir essuyé des yeux irrités et des tarbouifs dégoulinants.
Dire que cette dépense d’énergie m’a toujours gavé, tout autant que la distribution de tracts à la sortie des bouches de métro, ne donne qu’une petite idée de l’état dans lequel cela me plonge. Ni utile ni agréable. Et très frustrant.
Avant la Commune, je fais vite, ce fut la révolte des canuts à Lyon en 1831 ; et avant encore - bien avant - Spartacus et « ses » parias – 73 avant J.-C. - donnant pendant trois ans du fil à retordre à l’Empire romain pour une crucifixion massive.
Après ça, plus près de nous, les marins de Kronstadt, en 1921, dénonçant la dictature bolchevique et se faisant larder, tout pareil que les communards précédemment. N’oublions pas, lors de cette période de dictature du « prolétariat » naissante, l’attitude néfaste des bolchos à l’égard de Nestor Makhno et de son armée ukrainienne, souvent alliés du nouveau pouvoir contre les « russes blancs » et sitôt trahis, massacrés par ce même pouvoir, dont le bras armé n’était autre que feu Léon Trotsky, que certains nous présentent dans le milieu politique français actuel comme un angelot ! Je t'en foutrait !
Comme on le voit, les occasions de célébrer une tragédie ne manquent pas ! En fait on ne célèbre que des défaites ouvrières, au fur et à mesure que le monde s’enfonce dans le chaos et le totalitarisme.
En vérité j’en ai franchement marre de ces « festivités » ponctuelles qui endorment plus qu’elles n’éveillent !
En 1945 nous pensions que le ventre de la « bête immonde » avait été rendu infécond. Or, avec une certaine distance, on s’aperçoit avec horreur que ceux qui avaient œuvré à rendre stérile le nazisme, s’enrichissant au passage, sont les mêmes qui aujourd’hui poussent à la gouvernance globale, à l’eugénisme et à l'effacement de toute volonté... 
Alors, nos petites manifs de célébration annuelle, non seulement ils s’en tamponnent, mais ils les encouragent pour développer plus de désordre dans les esprits.
Plus un pays est acculturé, plus il est facile à manœuvrer. 

Sous l’Casque d’Erby



dimanche 14 mars 2021

Noir c'est noir

M Art' IN
Retour de la ville. Muette et immuable. Le désert de Gobi version Big Brother.
On murmure à l’oreille du canasson que je suis que « ça bouge » ; que le pouvoir profond n’a qu’à bien se tenir ; que tout ça va sauter ; que les salauds seront pendus avec les boyaux des derniers capitalos.
Dans le doute, j’ai sorti le costume de la naphtaline et le tient fin prêt pour le cas où… Noir avec sa cravate rouge, mes couleurs, celles de l’anarcho-syndicalisme ! Pas ce rouge bâtardé qu'on nous sert en guise de consolation entre deux arnaques électorales. Du rouge bakouninien tendance Buenaventura Durruti.
Je dis bien au cas où.
Tellement de choses se bousculent dans l’esprit par ces temps chaotiques qu’on ne sait plus sur quel mur taper le front pour faire désenfler l’hématome.
Ainsi, la dernière polémique au sujet d’un livre venu d’outre-Atlantique, laquelle fait suite à d’autres de la même eau, comme celle qui m’oblige à baiser les arpions des blackos pour des « crimes » que je n’ai pas commis.
Un remède contre la connerie ? Hélas, non !
La traductrice désignée, Marieke Lucas Rijneveld, écrivaine et poétesse néerlandaise, pour traduire son homologue américaine, la poétesse noire Amanda Gorman, choisie par Joe Biden pour son investiture, abandonne la partie, non point pour incompétence, au contraire, mais parce qu’elle n’est pas noire de peau, pas plus qu’elle n’affiche un CV d’activiste poursuivie par les services de sécurité de l’État ! Bref, elle est victime de sa couleur de peau et d’une histoire militante aussi plate que l’eau du robinet.
En effet, une décérébrée de gros calibre, journaliste et militante noire, Janice Deul (là on s’accroche !) estimant qu’une « personne noire aurait dû être choisie pour ce faire » !
Et si nous répondions à cette hystérique aux neurones mal fagotés que les noirs n’ayant pas inventé l’écriture, leur culture étant d’essence orale, au nom de qui ou de quoi écrivent-il des livres ou des articles comme le sien avec des signes inventés par des non noirs ?
On laisse couler, noir c’est noir !

Sous l’Casque d’Erby