DSK devient LSK et signe son retour à la drogue dure

Le roi de la braguette, le marquis de Sade des Temps Modernes, le Monte-Cristo de la haute finance, le Lucky Luke du défouraillage, le déculoteur des boniches et des amoureuses compulsives, l'amateur des roploplos turgides, l'ostracisé du FMI, l'économiste libéral au talent reconnu, quand l'atavisme sexuel lui laisse le temps, était devenu un désœuvré, un RMIste de plus, un bouc émissaire, sorte de biquet attaché au piquet pour expier la faute de tous, crevant comme un chien, victime d'une passion dévorante. Cruel est le destin ! 

Rassurons-nous, l'homme a prouvé à maintes reprises qu'il possédait de la ressource. Il a trouvé du boulot. Ouf ! 

Ayant encore des choses à dire et à prouver, voire à reprouver, il vient de trouver un job de banquier d'affaires au sein d'un pôle financier luxembourgeois, coté à la Bourse de Paris, « société, qui est calquée sur le modèle des banques d'investissement anglo-saxonnes ».
Le LSK nouveau est en rayon, on se dépêche ! A moins de grosse surprise, ce millésime n'est pas à la portée de toutes les bourses, si je puis dire, mais selon le communiqué officiel, la société qui l'a intronisé compte des collaborateurs répartis dans pas mal de pays, parmi lesquels le Luxembourg, la Belgique, Monaco, Israël, la Suisse et la Roumanie... 

Que du lumpenprolétariat au tableau d'affichage !