mercredi 2 décembre 2020

Plainte pénale pour génocide

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Que fait-on d’un criminel ? La règle veut que la société s’en prémunisse ou le punisse si elle ne parvient pas à l’empêcher de commettre son forfait à temps.
C’est le cas de figure qui nous occupe avec la pandémie dite du Covid 19.
Nos élus, non seulement n’ont pas été à la hauteur mais ont failli à la mission pour laquelle le peuple les a élus.
Mieux : ils ont «  profité », volontairement ou par incompétence, de la peur suscitée par elle et entretenue par leurs soins pour, avec l’aide de médias collaborationnistes, se livrer au démontage de l’économie dans un but inavouable, dont le mal et les causes sont à chercher dans les profondeurs obscures d’une oligarchie cannibale. Ils n'ont aucune excuse.
Une diminution de la population mondiale et son nivellement par le bas n'est plus un vœu pieux mais une réalité élaborée de manière sophistiquée. Et pour cela quoi de mieux  qu’une casse rapide et continue des économies, la planification de migrations sauvages et la suppression des droits sociaux, livrant les individus à une guerre permanente et sans pitié, sans autre règle morale que celle de la survie par la violence. Ce n'est plus de la science fiction mais la réalité du terrain dont les policiers en sont les parfaits auxiliaires.
Alors la question est la suivante : Macron doit-il être démis de ses fonctions et ses ministres, anciens et nouveaux, doivent être poursuivis pour « génocide du peuple français » ?
Une plainte au pénal a été « déposée par Mme Bonny, ancien médecin militaire aux maladies infectieuses, contre le président de la République, ses ministres et son administration auprès du Procureur général près la Cour de cassation », publiée par France Soir, journal non subventionné.
Pour ma part, cette plainte est justifiée. Copie de celle-ci doit-être adressée « aux parlementaires, à son député et son sénateur ». A nos claviers !
Par ailleurs, pour que cette plainte soit effective, il faut tout simplement qu’un « dixième de parlementaires de l’une ou l’autre chambre déposent sur le bureau de leur assemblée une proposition motivée de résolution portant mise en accusation et tendant à la réunion de cette Haute Cour ».
A vos couilles, messieurs les élus ! Nous allons pouvoir compter les vrais serviteurs de la Nation !

Le texte intégral est dans France Soir !

Sous l’Casque d’Erby

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