Aujourd'hui,
pile poil, poil aux poilus, 100 ans que la grande boucherie
franco-allemande envoyait son bétail à l'abattoir des deux côtés
des barrières délimites. Cent ans déjà que les pauvres bouffaient
de la boue, se fracassaient la gueule sur un seul objectif : le
bonheur et le caprice du riche, au nom d'un principe universellement
inviolable, le riche, sans qu'ils comprennent goutte à la merde
qu'on leur faisait avaler, au nom du Père, du fils et de son putain
d'esprit !
Cent ans après, alors qu'il pleure sur terre, aussi sûr que ça saigne en enfer, le pauvre en bave encore, la commissure en est usée, tant ça dégouline baveux de l'arnaque et du viol jusqu'au menton, mais il a l'air heureux en écoutant les héritiers du riche parler de l'horreur comme on parle d'un ouvrage de Proust dans un salon sans lumière.
Cent ans après, alors qu'il pleure sur terre, aussi sûr que ça saigne en enfer, le pauvre en bave encore, la commissure en est usée, tant ça dégouline baveux de l'arnaque et du viol jusqu'au menton, mais il a l'air heureux en écoutant les héritiers du riche parler de l'horreur comme on parle d'un ouvrage de Proust dans un salon sans lumière.
Les
pauvres en chient encore des médailles aussi grosses que des
macarons, au nom de celui qui toujours célèbre la paix
comme la victoire de son clan, le riche, le repu, l'assassin, le
criminel, le génocidaire ! Au nom d'un principe inviolable,
celui du riche !
Laissez
les morts en paix et occupez vous des vivants. Messieurs, je vous
crache à la gueule !
Sous l'casque d'Erby
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