mercredi 27 août 2014

De Valls à Valls, un seul perdant, le peuple !

Erby
Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarko et, maintenant, François Hollande, ce ne sont pas le ou les gouvernements qui sont en cause, mais l’essence même du pouvoir monarchique de la 5ème République pourrissant sous l’œil fendard des prédateurs financiers, heureux de voir le petit peuple agitant des bras impuissants dans les sables mouvants de la politique et de l’économie avec une jubilation criminelle.
Alors le Vals 1, 2 ou plus ce n’est que du spectacle de fête foraine pour un public accro à la téléréalité, sorte d’opéra minable avec lequel on nivelle par le bas. Et plus bas, dans l’état actuel des choses, nous avons du mal à trouver dans le discount politique où les temps sont à la surenchère.
Alors, que faire ? Gloser jusqu’à la fin des temps sur l’injustice et le malheur de tous, attendant qu’une bonne vieille météorite vienne mettre un point final à notre espèce, comme cela fut jadis le cas avec ces chers dinosaures dont nous avons pris la place sans être sûrs d’avoir gagné au change ?...
Seule nouveauté dans ce remaniement taillé à la main de Vals-le-roquet, fort avec le faible, docile avec le fort, la nomination de l’ancien banquier de Rothschild, Emmanuel Macron, 36 balais au compteur, secrétaire général adjoint de l’Élysée pendant deux ans, en lieu et place d’Arnaud Montebourg, adepte du « volontarisme industriel », pratiquant le volapuk avec l’art consommé d’un vieux routard, capable déjà de vous faire prendre un étron pour un lingot d’or.
Allez, on se porte du mieux que l’on peut !

Sur le sujet :
Brejnevisation


Sous l'casque d'Erby

Arghhhh !... C'est plein de requins ici !

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