mardi 7 octobre 2014

Manuel Valls veut se fiancer avec la City


Tu paries, mon pote ? Tope-la ! La prochaine fois j'enlève le haut ! : A poil les neurones détraqués !!! 
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De Rome à Berlin et hier à Londres, Manuel Valls passe son oral devant les financiers. Des hectolitres de salive et de sueur pour convaincre les rupins européens, très critiques à l'égard de l'Hexagonie, que sous l'estampille « socialiste » se cachent en vérité de vrais disciples du libéralisme à la française.
C'est au « cœur historique » de la City, à Guildhall, là où ça palpite, là où ça s'agite, là où s'ourdissent les sales coups, que notre Manu a présenté ses arguments à nos meilleurs ennemis les anglais. Empruntant le chemin le plus direct, il n'a éprouvé aucun malaise à se présenter devant David Cameron dans une tenue qui en dit long sur ses intentions, comme le montre la photo d'illustration. Tenue qu'on aurait du mal à comparer au fameux bleu de chauffe propre à un représentant du prolétariat militant.
Oui, mon gouvernement a changé. Désormais il chasse ouvertement du pauvre, du sans-abri, de l'indigent, du fraudeur au Pôle-emploi, du clandestin... Nous allons presser tout ça, comme on presse les pommes à cidre, a-t-il exprimé devant des examinateurs fort surpris par le bagout et la pugnacité du catalan.
Poussant le bouchon encore plus loin, il a expliqué, sans émotion particulière, comment le gouvernement français allait aider le patronat à aller encore plus haut dans ses bénéfices, en baissant ses charges et en supprimant la taxe à 75% sur les revenus supérieurs à un million d'euros, prévue dès janvier 2015 et qui risquait de pénaliser les millionnaires du ballon rond, afin de réussir son plan d'économie de 50 milliards d'euros !
Eh, Manu, si c'est pas le rupin qui raque, qui alors ?...

Dans la même famille, nous avons...


Sous l'casque d'Erby

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